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Rétrospective 2020

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28 décembre 2020

Élise Brouillette - ebrouillette@medialo.ca

Octobre : Un projet novateur pour les enfants victimes d’agression sexuelle

Rétrospective 2020

Molly

©(Photo L'Action- Mélissa Blouin)

Molly apporte soutien et réconfort aux enfants victimes d’agression sexuelle.

Molly vient tout juste de commencer son travail, mais déjà, elle fait une grande différence au sein de l’équipe du Milieu d'Intervention et de Thérapie en Agression Sexuelle (MITAS). 

Selon la directrice générale Catherine Pelletier, que L’Action a rencontrée, il s’agit du premier chien 100 % dédié aux enfants victimes d’agression sexuelle au Québec. Par ce projet unique, l’organisme souhaite offrir un soutien émotionnel à travers un processus qui peut s’avérer difficile et éprouvant.

La destruction d’une clôture au cœur d’un litige

Le centre de services scolaire des Samares a dû installer une nouvelle clôture entre trois de ses terrains et celui des Galeries Joliette, après que l’ancienne ait été enlevée en août dernier. Les Galeries Joliette auraient procédé au retrait de la haie de cèdres mature et de la clôture qui séparaient son terrain de celui du Centre de formation de l’Argile, du Centre multisport et de l’école secondaire Thérèse-Martin. Selon les informations obtenues, le tout se serait fait sans l’autorisation du CSSS, bien qu’il semblerait que la clôture était une propriété de ce dernier. Ce geste a alors fait naître de l’inquiétude chez plusieurs citoyens puisque cela représentait une atteinte à la sécurité des élèves. 

Des camps de vacances risquent une fermeture définitive

Sans aide financière, des camps de vacances certifiés de Lanaudière devront bientôt se résigner à fermer définitivement leurs portes. C’est pourquoi ils demandent la mise en place d’un fonds d’urgence. Comme beaucoup d’organisations, les camps ont été frappés de plein fouet par la pandémie. Toutefois, leur situation est particulièrement inquiétante parce que les camps de vacances sont un des seuls secteurs qui n’a jamais pu reprendre ses activités depuis le mois de mars. Les camps de vacances s’autofinancent majoritairement durant l’été, mais la pandémie a forcé leur fermeture complète depuis mars 2020. Ils se trouvent donc, privés des revenus d’une année complète, à devoir payer des frais fixes pouvant dépasser 300 000 $.  David Paradis-Lapointe, directeur général de Plein Air Lanaudia, situé à Saint-Côme, souligne qu’à elle seule, la MRC de Matawinie possède 13 camps de vacances qui sont tous sur la corde raide.

Plusieurs municipalités s’opposent à l’article 81 du projet de loi 67

Plusieurs conseils municipaux de la région se manifestent afin de signifier leur opposition à l’article 81 du projet de loi 67 actuellement à l’étude à l’Assemblée nationale. Cet article prévoit retirer aux municipalités certains pouvoirs de réglementation en matière d’hébergement, dont celui d’interdire les locations de type Airbnb pour les résidences principales. À l’instar de plusieurs autres au Québec, des municipalités de la Matawinie dont Saint-Jean-de-Matha, Saint-Damien et Sainte-Béatrix estiment que les dispositions de l’article 81 du projet de loi 67 privent les municipalités de pouvoirs fondamentaux en matière d’aménagement de son territoire et représentent un affront à la notion même de gouvernement de proximité. 

 

©(Photo L'Action- Mélissa Blouin)

Le centre de services scolaire des Samares a dû installer une nouvelle clôture entre trois de ses terrains et celui des Galeries Joliette.

©Photo gracieuseté - L'Action

Les camps de vacances risquent la fermeture.

©Photo Depositphotos.com/vittore

Plusieurs conseils municipaux de la région se manifestent afin de signifier leur opposition à l’article 81 du projet de loi 67.

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